Le syndrome d’épuisement professionnel a une prévalence élevée, de 5 à 60% selon les professions. Le médecin généraliste est en première ligne pour repérer ce dernier et évaluer la gravité de la situation (et notamment le risque suicidaire).
Il doit également optimiser la prise en charge médicale en lien avec le médecin du travail. Mais comment distinguer ce syndrome d’épuisement professionnel de la fatigue chronique ou d’un épisode dépressif ?